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Ne soyez pas prisonnier des dogmes qui obligent à vivre en obéissant à la pensée d’autrui. Ne laissez pas le brouhaha extérieur étouffer votre voix intérieure.
Ayez le courage de suivre votre coeur et votre intuition. L’un et l’autre savent ce que vous voulez réellement devenir. Le reste est secondaire.

Steve Jobs

MADAGASCAR - Un monde caché

Pensez enfin à vous !

La seule personne au monde avec qui vous êtes certain de vivre jusqu’à votre mort, c’est vous !

Fonctionnalités Personnalisation

Cessez de voir petit !

Qui vous a dit qu’il fallait voir petit et se satisfaire de peu...
 

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Oser réinventer sa vie !

Changez d'habitudes, changez de vie !
 

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Il y avait des chansons, des chansons
Les hommes venaient y boire et rêver
Dans La Maison Sur Le Port
Où les filles riaient fort
Où le vin faisait chanter, chanter, chanter

Les pêcheurs vous le diront
Ils y venaient sans façon
Avant de partir tirer leurs filets
Ils venaient se réchauffer près de nous
Dans La Maison Sur Le Port


Les volets se sont ouverts et depuis
Les rires des filles se sont envolés
Sous un tube de néon
Un fonctionnaire à lorgnons
Est perdu dans ses papiers, vieux papiers
Où sont les rideaux à fleurs
Et les lampes de couleurs
Les cheveux de Maria, ses bras nus?
On dirait que tout est mort et bien mort
Dans La Maison Sur Le Port


Pourtant je suis revenue une nuit
J'avais cru qu'on y chantait comme avant
Mais les couples qui dansaient
N'étaient plus rien à présent
Que les ombres du passé, du passé
Vainement j'ai recherchécette fille que j'aimais
Qui savait aussi chanter et aimer
Je vous dis que tout est mort et bien mort
Dans La Maison Sur Le Port


Ce n'est pas sur mes vingt ans que je pleure
Bien souvent avec les filles j'ai pleuré
Mais on aurait pu laisser
Nos chansons dormir en paix
Nos chansons et nos amours, nos amours
Je l'ai dit à Maria
Et aux filles de là­-bas
Allons boire pour oublier
Un petit marc
Puisque notre coeur est mort et bien mort
Dans La Maison Sur Le Port
Puisque notre coeur est mort et bien mort
Dans La Maison Sur Le Port

Bairro Alto aos seus amores tão dedicado
Quis um dia dar nas vistas
E saíu com os trovadores mais o fado
Pr'a fazer suas conquistas

Tangem as liras singelas,
Lisboa abriu as janelas, Acordou em sobressalto
Gritaram bairros à toa
Silêncio velha Lisboa, Vai cantar o Bairro Alto

Trovas antigas, saudade louca
Andam cantigas a bailar de boca em boca
Tristes bizarras, em comunhão
Andam guitarras a gemer de mão em mão

Por isso é que mereceu fama de boémio
Por seu condão fatalista
Atiraram-lhe com a lama como prémio
Por ser nobre e ser fadista

Hoje saudoso e velhinho,
Recordando com carinho seus amores suas paixões
Pr'a cumprir a sina sua
Ainda veio pr'o meio da rua, cantar as suas canções

Trovas antigas, saudade louca
Andam cantigas a bailar de boca em boca
Tristes bizarras, em comunhão
Andam guitarras a gemer de mão em mão

Tristes bizarras, em comunhão
Andam guitarras a gemer de mão em mão

De nouveau, on me quitte encore,
Je ne suis jamais le plus fort,
Je suis celui qui par malheur,
Passe sa vie de cœur en cœur,
C'est à croire que je suis puni,
C'est à croire que l'amour m'oublie,
C'est à croire,
Je ne sais plus.

Faut-il mourir ou vivre,
Quand on a du chagrin ?
Faut-il mourir ou vivre ?
Je ne sais plus très bien.

Réponds, moi je veux vivre,

T'avoir auprès de moi,
Faut-il mourir ou vivre
Pour que l'amour ne nous quitte pas ?

Car la peine est là chaque instant,
Et mon rire ne vit qu'un moment,
Avec moi, je lutte parfois,
Hélas, je perds chaque fois,
C'est à croire que l'amour m'oublie,
C'est à croire que je suis puni,
C'est à croire, c'est à croire,
Je ne sais plus.

Faut-il mourir ou vivre,
Quand on a du chagrin ?
Faut-il mourir ou vivre ?
Je ne sais plus très bien,

Reviens, moi je veux vivre,
T'avoir auprès de moi,
Faut-il mourir ou vivre ?
C'est toi qui me le diras,
Reviens, moi je veux vivre, vivre

Et dans 150 ans, on s'en souviendra pas
De ta première ride, de nos mauvais choix,
De la vie qui nous baise, de tous ces marchands d'armes,
Des types qui votent les lois là bas au gouvernement,
De ce monde qui pousse, de ce monde qui crie,
Du temps qui avance, de la mélancolie,
La chaleur des baisers et cette pluie qui coule,
Et de l'amour blessé et de tout ce qu'on nous roule,
Alors souris.

Et dans 150 ans, on s'en souviendra pas
De la vieillesse qui prend, de leurs signes de croix,

De l'enfant qui se meurt, des vallées du tiers monde,
Du salaud de chasseur qui descend la colombe,
De ce que t'étais belle, et des rêves arrachées,
Des années sans sommeil, 100 millions d'affamés
Des portes qui se referment et de t'avoir vu pleurer,
De la course solennelle qui condamne sans ciller,
Alors souris.

Et dans 150 ans, on n'y pensera même plus
A ceux qu'on a aimé, à ceux qu'on a perdus,
Allez vidons nos bières tous les voleurs des rues !
Finir tous dans la terre, mon dieu mais quelle déconvenue.
Et regarde ces squelettes qui nous regardent de travers,

Et ne fais pas la tête, non, non, non, non, non, ne leur fais pas la guerre,
Il leur restera rien de nous, pas plus que d'eux,
J'en mettrais bien ma main à couper ou au feu,
Alors souris.

Et dans 150 ans, mon amour, toi et moi,
On sera sûrement, dansant, 2 oiseaux sur la croix,
Dans ce bal déclassé, et encore je vois large,
Peut être qu'on sera repassés dans un très prochain naufrage,
Mais il y a rien d'autre à dire, et je veux rien te faire croire,
Mon amour, mon amour, j'aurai le mal de toi,
Mais y a rien d'autre à dire, je veux rien te faire croire,
Mon amour, mon amour, j'aurai le mal de toi,

Mais que veux-tu ?...

Va danser toutes les danses que tu veux
Dans les bras de celles que tu entraînes au loin
Va sourire des sourires merveilleux
Pour les danseuses dont tu tiens la main
Mais n'oublie pas que ce sera toi
Qui me conduiras ce soir chez moi
Garde bien la dernière danse pour moi

Il y a quelquefois des refrains
Plus forts que le vin qui vous tourne la tête
Chante et ris mais je t'en supplie, pour une autre que moi
Ne donne pas ton cœur
Et n'oublie pas que ce sera toi
Qui me conduiras ce soir chez moi
Oh garde bien la dernière danse pour moi

Comprends-moi chéri, je t'aime trop
Et je n'ai plus qu'un désir
C'est t'empêcher un jour de partir
Notre amour est trop beau

Allez, va danser, tu peux t'amuser
J'attendrai le jour pour notre retour
Si quelqu'un veut que tu l'accompagnes jusqu'à la maison
Dis-lui bien que non
Car n'oublie pas que ce sera toi
Qui me conduiras ce soir chez moi
Gardes bien la dernière danse pour moi

La, la, la, la, la...

Oui, n'oublie pas que c'est dans tes bras
Que ce soir tu me serreras
Garde bien la dernière danse pour moi
Garde bien la dernière danse pour moi
Garde bien la dernière danse pour moi.

Va danser
Toutes les danses que tu veux
Dans les bras de ceux qui t'entraînent au loin…
Va sourire
Des sourires merveilleux
Pour les danseurs qui te tiennent la main…

Mais n'oublie pas que je serai là
Pour te conduire enfin chez toi
Garde bien…la dernière danse pour moi…

Va danser
Tu peux t'amuser
J'attendrai le tour de notre retour…
Si quelqu'un veut t’accompagner jusqu'à la maison
Dis-lui bien que non…

Car n'oublie pas que je serai là
Pour te conduire enfin chez toi
Garde bien…la dernière danse pour moi…

Comprends-moi chérie, je t'aime trop
Et je n'ai qu'un seul désir
C'est t'empêcher un jour de partir
Notre amour est trop beau

Va danser
Toutes les danses que tu veux
Dans les bras de ceux qui t'entraînent au loin…
Va sourire
Des sourires merveilleux
Pour les danseurs qui te tiennent la main…

Mais n'oublie pas que je serai là
Pour te conduire enfin chez toi
Garde bien…la dernière danse pour moi…

Il y a quelquefois des refrains
Plus forts qu’un vin
Ils vous tournent la tête
Chante et ris
Mais je t'en supplie
Qu’aucun danseur ne prenne ton cœur

Car n'oublie pas
Que c'est dans mes bras que ce soir tu t'endormiras
Garde bien…la dernière danse pour moi…
Garde bien…la dernière danse pour moi…
Garde bien…la dernière danse pour moi…

(La dernière danse pour moi…)
(La dernière danse pour moi…)

La dernière danse pour moi…

Un grand voilier aux voiles bleues
Se penche sur le bleu de la mer
C'est là qu'on a joué nos jeux
Au temps d'hier
Caché derrière les blés brûlés
Au pied de l'olivier centenaire
Tu me criais des mots volés
Aux vieilles pierres

Ma vie cherche ta vie
Depuis toujours
Tu n'es pas que l'ami
De mes beaux jours
Tu es la terre promise
Dont je rêvais
Tu es le seul pays
Où je vivrais
Ma vie cherche ta vie
C'est ma chanson
Car je donne à ma vie
Ton nom

Et puis chacun de son côté
On est partis au nord de la mer
Souvent sans toi j'ai cru aimer
Autant qu'hier
Pourtant mon cœur n'a pas quitté
Le cœur de l'olivier centenaire
Qui me criait ces mots volés
Aux vieilles pierres

Ma vie cherche ta vie
Depuis toujours
Tu n'es pas que l'ami
De mes beaux jours
Tu es la terre promise
Dont je rêvais
Tu es le seul pays
Où je vivrais
Ma vie cherche ta vie
C'est mon chanson
Car je donne à ma vie
Ton nom

Tu t'en vas
Mais non, mon cœur, non, ce n'est rien
Que quelques semaines à s'attendre
 
Tu t'en vas
Mes joies, mes rêves sont pour toi
Impossible de t'y méprendre
 
Tu t'en vas
Mais notre amour nous appartient
Nul ne saurait nous le reprendre
 
Tu t'en vas
L'éloignement aide parfois
À mieux s'aimer, mieux se comprendre
 
Tu t'en vas
Comme un soleil qui disparaît
Comme un été, comme un dimanche

J'ai peur de l'hiver et du froid
J'ai peur du vide de l'absence

 
Tu t'en vas
Et les oiseaux ne chantent plus
Le monde n'est qu'indifférence

J'ai peur de toi, j'ai peur de moi
J'ai peur que vienne le silence
Laï laï laï laï...

 
Tu t'en vas
Mais non, mon cœur, non, ce n'est rien
Rien qu'un départ sans importance
 
Tu t'en vas
Ce n'est, mon cœur, tu le sais bien
Qu'un caprice de l'existence
 
Tu t'en vas
Le temps, l'espace ne sont rien
Si tu me gardes ta confiance
 
Tu t'en vas
Chaque matin qui vient, tu sais
Pour tant d'amants tout recommence
 
Tu t'en vas
Je reste là seul et perdu
Comme aux pires heures de l'enfance

J'ai peur de l'hiver et du froid
J'ai peur du vide de l'absence

 
Tu t'en vas
Soudain pour moi tout s'assombrit
Le monde n'est qu'incohérence

J'ai peur de toi, j'ai peur de moi
J'ai peur que vienne le silence
Laï laï laï laï...

Si tu crois un jour que j't'laisserai tomber
Pour un détail, pour une futilité
N'aie pas peur, je saurai bien
Faire la différence

Si tu crains un jour que j't'laisserai faner
La fin de l'été, un mauvais cap à passer
N'aie pas peur, personne d'autre n'pourrait
Si facilement te remplacer
Oh, non pas toi
Vraiment pas toi

Parce que c'est toi le seul à qui j'peux dire
Qu'avec toi je n'ai plus peur de vieillir
Parce que c'est toi
Rien que pour ça

Parce que j'avoue, j'suis pas non plus tentée
D'rester seule dans un monde insensé

Si tu crois un jour qu'tout est à refaire
Qu'il faut changer, on était si bien naguère
N'aie pas peur, j'veux pas tout compliquer
Pourquoi s'fatiguer?

Et commence pas à te cacher pour moi
Oh non, je te connais trop bien pour ça
Je connais par cœur ton visage
Tes désirs, ces endroits de ton corps
Qui m'disent encore
"Parce que nous, c'est fort"

Parce que c'est toi, j'oserais tout affronter
Et c'est toi à qui j'pourrais pardonner
Parce que c'est toi

Rien que pour ça
Parce que c'est toi, j'voudrais un jour un enfant
Et non pas parce que c'est le moment
Parce que c'est toi

Je veux te voir dedans
J'verrais dans ses yeux tous ces petits défauts
Parce que "parfait" n'est plus mon créneau
Parce que c'est toi

Parce que c'est toi le seul à qui j'peux dire
Qu'avec toi je n'ai plus peur de vieillir

Parce que c'est toi

Là-bas
Tout est neuf et tout est sauvage
Libre continent sans grillage
Ici, nos rêves sont étroits
C’est pour ça que j’irai là-bas

Là-bas
Faut du cœur et faut du courage
Mais tout est possible à mon âge
Si tu as la force et la foi
L’ or est à portée de tes doigts
C’est pour ça que j’irai là-bas

N’y va pas
Y’a des tempêtes et des naufrages
Le feu, les diables et les mirages

Je te sais si fragile parfois
Reste au creux de moi

On a tant d’amour à faire
Tant de bonheur à venir
Je te veux mari et père
Et toi, tu rêves de partir

Ici, tout est joué d’avance
Et l’on n’y peut rien changer
Tout dépend de ta naissance
Et moi je ne suis pas bien né

Là-bas
Loin de nos vies, de nos villages
J’oublierai ta voix, ton visage
J’ai beau te serrer dans mes bras
Tu m’échappes déjà, là-bas


J’aurai ma chance, j’aurai mes droits
N’y va pas
Et la fierté qu’ici je n’ai pas
Là-bas
Tout ce que tu mérites est à toi
N’y va pas
Ici, les autres imposent leur loi
Là-bas
Je te perdrai peut-être là-bas
N’y va pas
Mais je me perds si je reste là
Là-bas
La vie ne m’a pas laissé le choix
N’y va pas
Toi et moi, ce sera là-bas ou pas
Là-bas
Tout est neuf et tout est sauvage

N’y va pas
Libre continent sans grillage
Là-bas
Beau comme on n’imagine pas
N’y va pas
Ici, même nos rêves sont étroits
Là-bas
C’est pour ça que j’irai là-bas
N’y va pas
On ne m’a pas laissé le choix
Là-bas
Je me perds si je reste là
N’y va pas
C’est pour ça que j’irai là-bas
N’y va pas

Elle se lève
Était-ce un rêve
Ou un mauvais film
Une Italienne

Il était son homme
Son essentiel
Lui l’aimait candide
Sa bohémienne

Elle était gauche
Elle était droite surtout
La débauche
Dieu quel dégoût

Ce mot dans sa poche

Elle a compris d’un coup

Mamma Mia
Que j’étais bête
Lui pas malhabile
Mais malhonnête
Mamma Mia
Que j’étais bête
Mais me voilà libre
Je serai la reine sans roi
Je serai la reine sans roi
Et peu m’importe toi
Et peu m’importe toi

Elle s’habille
Deux ans défilent
Était-elle aveugle
Ou bien débile ?

Est-ce chaque homme est un animal
Est-ce qu’après tout c’était pas si mal
Elle y pense encore
Quand elle s’endort

Elle était gauche
Elle était droite surtout
Que c’est moche
Quand tout à coup

Mamma Mia
Que j’étais bête
Lui pas malhabile
Mais malhonnête
Mamma Mia
Que j’étais bête
Mais me voilà libre

Je serai la reine sans roi
Je serai la reine sans roi
Et peu m’importe toi
Et peu m’importe toi

Est-ce que chaque homme est un animal
Est-ce qu’après tout c’était pas si mal
J’empile en piles des questions
Tellement banales
Le problème j’me demande si c’est moi
Comprenne la cocue qui pourra
J’vais tout brûler, même ta maison
Pauvre de toi

Mamma Mia
Que j’étais bête
Lui pas malhabile
Mais malhonnête

J’ai dit Mamma Mia
Que j’étais bête
Mais me voilà libre
Je serai la reine sans roi
Je serai la reine sans roi
Et peu m’importe toi
Et peu m’importe toi

Gare du Nord en Novembre
Les cheveux en pagaille
Comme une boule au ventre qui me tend
qui me tord
Et Paris qui s'étale

Tout à coup me voilà
Les jambes fébriles
Qu’elle est grande pour moi cette scène
imposante
Où tout devient fragile

Et bam et bam
Dans la poitrine
Maman je l’ai fait pour ça
Je veux pas je veux l’Amerique

Je veux ce coeur qui bat
Et bam et bam
Sur la musique
Maman je l’ai fait pour toi
Je veux pas je veux pas l’Amérique
Je veux ce coeur qui bat
Et bam et bam
Et bam et bam
Et bam et bam

Envolée mon enfance
Mais jamais rien n’efface
Les rêves ou la violence
Ha oui ça vous glace
Mais c’est pour ça qu’on chante

Donnez-moi d’échouer
Et que vienne la pluie

On ne m'otera jamais que j’ai déjà gagné
De nouveaux amis

Et bam et bam
Dans la poitrine
Maman je l’ai fait pour ça
Je veux pas je veux l’Amerique
Je veux ce coeur qui bat
Et bam et bam
Sur la musique
Maman je l’ai fait pour toi
Je veux pas je veux pas l’Amérique
Je veux ce coeur qui bat
Et bam et bam
Et bam et bam
Et bam et bam

Et plus fort que ma voix

Je l’entends frapper
Ce coeur qui bam
Et balaye mes larmes
Et mes pourquoi

Et bam et bam
Dans la poitrine
J’ai pas l’argent mais la foi
Je veux pas je veux l’Amérique
Je veux ce coeur qui bat
Et bam et bam
Sur la musique
Messieurs Mesdames me voilà
Je veux pas je veux pas l’Amérique
Je veux ce coeur qui bat
Et bam et bam
Et bam et bam
Et bam et bam

Les chiffres du gaspillage alimentaire en France

Voici quelques chiffres qui parlent d’eux-mêmes : en France, on jette 10 millions de tonnes de nourriture par an(1), tous secteurs confondus : chez soi, dans la restauration et dans la grande distribution.

Au niveau des particuliers, ce sont 5 millions de tonnes, soit 79 kg par personne, de nourriture jetée tous les ans. Si certains déchets sont incompressibles, on estime que 20 kg de nourriture par an et par personne pourraient être facilement évités. Parmi ceux-ci, 7kg de nourriture est jetée encore emballée ! gaspillage chiffres

Comment se faire des amis et influencer les autres

Nos relations avec les autres sont-elles importantes ? Sont-elles un facteur d'efficacité, de qualité de vie ?
Etre partout le bienvenu, devenir un agréable causeur, obtenir la collaboration d'autrui, critiquer (s'il le faut absolument) sans se faire détester, garder le bonheur au foyer, etc.

Pour réussir dans la vie et rendre plaisants, harmonieux et profitables nos innombrables rapports - sociaux, commerciaux ou sentimentaux - avec nos semblables, il faut écouter Comment se faire des amis, ouvrage qui, dès sa parution, a obtenu un succès retentissant et qui ne s'est jamais démenti depuis.

Aimez l'argent pour ne plus survivre

"Gagner de l'argent & choisir sa vie"

Amour, attraction, mais aussi haine et mépris, l'argent provoque une forte ambivalence émotive.

Faites-vous partie de ces gens qui veulent juste gagner leur vie, qui subissent leur travail, qui ont abandonnés ou de ces leaders qui ne baissent pas les bras ?

Sans condamner ni idolâtrer l'argent, Franck Nicolas apporte un éclairage inédit sur le sentiment qu'il suscite.

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L’échec, c’est vivre pour le regard des autres

Qui n'a jamais eu de problèmes à prononcer ces 3 petites lettres: N.O.N?
Dire "OUI" à quelqu'un alors que vous pensez "NON" est souvent lié à la peur de déplaire, au besoin d'être aimé.

Savoir dire "NON", c'est apprendre à se dire "OUI" à soi-même.

Comment ne pas tenir compte du JUGEMENT des autres

Lorsque l’on dit oui à nos rêves, on inspire ceux qu’on aime à donner une chance à leurs propres rêves.
Nous ne savons pas si nos rêves sont possibles ou non, alors agissons comme si tout est possible.
Le premier but d’un rêve est de nous rendre vivants et donner un sens à nos vies, ici et maintenant.
Aujourd’hui nous avons un choix
Celui de donner un sens à un rêve, le choix d’y croire et d’agir. Donnez une chance à vos rêves. Quoi qu’il arrive, vous serez fier de vous !

Comment tout peut s'effondrer

Et si notre civilisation s’effondrait ? Non pas dans plusieurs siècles, mais de notre vivant. Loin des prédictions Maya et autres eschatologies millénaristes, un nombre croissant d’auteurs, de scientifiques et d’institutions annoncent la fin de la civilisation industrielle telle qu’elle s’est constituée depuis plus de deux siècles. Que faut-il penser de ces sombres prédictions ? Pourquoi est-il devenu si difficile d’éviter un tel scénario ?

Dans ce livre, Pablo Servigne et Raphaël Stevens décortiquent les ressorts d’un possible effondrement et proposent un tour d’horizon interdisciplinaire de ce sujet - fort inconfortable - qu’ils nomment la "collapsologie". En mettant des mots sur des intuitions partagées par beaucoup d’entre nous, ce livre redonne de l’intelligibilité aux phénomènes de "crises" que nous vivons, et surtout, redonne du sens à notre époque. Car aujourd’hui, l’utopie a changé de camp : est utopiste celui qui croit que tout peut continuer comme avant. L’effondrement est l’horizon de notre génération, c’est le début de son avenir. Qu’y aura-t-il après ? Tout cela reste à penser, à imaginer, et à vivre…

Pablo Servigne est ingénieur agronome et docteur en biologie. Spécialiste des questions d’effondrement, de transition, d’agroécologie et des mécanismes de l’entraide, il est l’auteur de Nourrir l’Europe en temps de crise (Nature & Progrès, 2014).

Raphaël Stevens est éco-conseiller. Expert en résilience des systèmes socioécologiques, il est cofondateur du bureau de consultance Greenloop.

Postface d'Yves Cochet, ancien ministre de l'Environnement et président de l'Institut Momentum.

Avoir la vie qui vous inspire!

Réussir, vivre dans l'abondance sont plus simples que vous croyez.
Quelques petites choses à savoir et à appliquer feront la différence pour vous.

Comment s'aimer ?