Skip to main content

Votre temps est limité, ne le gâchez pas en menant une existence qui n’est pas la vôtre.

Ne soyez pas prisonnier des dogmes qui obligent à vivre en obéissant à la pensée d’autrui. Ne laissez pas le brouhaha extérieur étouffer votre voix intérieure.
Ayez le courage de suivre votre coeur et votre intuition. L’un et l’autre savent ce que vous voulez réellement devenir. Le reste est secondaire.

Steve Jobs

MADAGASCAR - Un monde caché

Pensez enfin à vous !

La seule personne au monde avec qui vous êtes certain de vivre jusqu’à votre mort, c’est vous !

Fonctionnalités Personnalisation

Cessez de voir petit !

Qui vous a dit qu’il fallait voir petit et se satisfaire de peu...
 

Pages Contenu

Oser réinventer sa vie !

Changez d'habitudes, changez de vie !
 

Se connecter à TYPO3

De nouveau, on me quitte encore,
Je ne suis jamais le plus fort,
Je suis celui qui par malheur,
Passe sa vie de cœur en cœur,
C'est à croire que je suis puni,
C'est à croire que l'amour m'oublie,
C'est à croire,
Je ne sais plus.

Faut-il mourir ou vivre,
Quand on a du chagrin ?
Faut-il mourir ou vivre ?
Je ne sais plus très bien.

Réponds, moi je veux vivre,

T'avoir auprès de moi,
Faut-il mourir ou vivre
Pour que l'amour ne nous quitte pas ?

Car la peine est là chaque instant,
Et mon rire ne vit qu'un moment,
Avec moi, je lutte parfois,
Hélas, je perds chaque fois,
C'est à croire que l'amour m'oublie,
C'est à croire que je suis puni,
C'est à croire, c'est à croire,
Je ne sais plus.

Faut-il mourir ou vivre,
Quand on a du chagrin ?
Faut-il mourir ou vivre ?
Je ne sais plus très bien,

Reviens, moi je veux vivre,
T'avoir auprès de moi,
Faut-il mourir ou vivre ?
C'est toi qui me le diras,
Reviens, moi je veux vivre, vivre

Et dans 150 ans, on s'en souviendra pas
De ta première ride, de nos mauvais choix,
De la vie qui nous baise, de tous ces marchands d'armes,
Des types qui votent les lois là bas au gouvernement,
De ce monde qui pousse, de ce monde qui crie,
Du temps qui avance, de la mélancolie,
La chaleur des baisers et cette pluie qui coule,
Et de l'amour blessé et de tout ce qu'on nous roule,
Alors souris.

Dans 150 ans, on n'y pensera même pas
A la vieillesse qui prend, à leurs signes de croix,

A l'enfant qui se meurt, aux vallées du tiers monde,
Au salaud de chasseur qui descend la colombe,
A ce que t'étais belle, et aux rires arrachées,
Aux années sans sommeil, 100 millions d'affamés
Aux portes qui se referment et de t'avoir vu pleurer,
A la cour solennelle qui condamne sans ciller,
Alors souris.

Et dans 150 ans, on n'y pensera même plus
A ceux qu'on a aimé, à ceux  qu'on a perdus,
Allez vidons nos bières pour les voleurs des rues !
Finir tous dans la terre, mon dieu mais quelle déconvenue.
Et regarde ces squelettes qui nous regardent de travers,

Et ne fais pas la tête, non, non, non, non, non, ne leur fais pas la guerre,
Il leur restera rien de nous, pas plus que d'eux,
J'en mettrais bien ma main à couper ou au feu,
Alors souris.

Et dans 150 ans, mon amour, toi et moi,
On sera sûrement, dansant, 2 oiseaux sur la croix,
Dans ce bal déclassé, et encore je vois large,
Peut être qu'on sera repassés dans un très prochain naufrage,
Mais il y a rien d'autre à dire, et je veux rien te faire croire,
Oh mon amour, mon amour, mon amour, j'aurai le mal de toi,
Mais y a rien d'autre à dire, je veux rien te faire croire,
Mon amour, mon amour, j'aurai le mal de toi,

Mais que veux-tu ?...

Je me suis réveillée au pied du mur de ma vanité
J'ai entendu ma conscience pleurer et je me suis mis à prier
Je me suis mis à prier
A tous ceux que j'ai offensés je demande pardon
A tous ceux qui m'ont offensé je demande pardon
A tous ceux que je n'ai pas compris, je demande pardon
A à tous ceux qui ne m'ont pas compris, je vous demande pardon

Je vous demande pardon A tous ces soldats tombés
A tous ces innocents touchés
A tous ces coeurs meurtris pardonne moi j'ai failli

J'aurai du trouver une solution pour museler ces canons
J'aurai du trouver la solution pour museler ces canons
J'aurai du oh! j'ai fais ce que j'ai pu
J'aurai du ! j'ai fais ce que j'ai pu

Dans ce miroir où mon orgueil défie mon égo
Je sais que dans ce monde nous ne sommes pas égaux
Mon regard a rencontré mes yeux et mes yeux ont baissé les yeux
Devant cette absence d'humilité ma faiblesse est dans ma vanité
Et c'est pourquoi
Je vous demande pardon, je vous demande pardon, je vous demande pardon
Je vous demande pardon ce jour si loin mais si prêt je m'en irais
Je lui dirais pardonne moi éternité
Moi aussi j'ai pleuré, moi aussi j'en ai pleuré des rivières

La rivière de mes prières

Je vous demande pardon ...

Bairro Alto aos seus amores tão dedicado
Quis um dia dar nas vistas
E saíu com os trovadores mais o fado
Pr'a fazer suas conquistas

Tangem as liras singelas,
Lisboa abriu as janelas, Acordou em sobressalto
Gritaram bairros à toa
Silêncio velha Lisboa, Vai cantar o Bairro Alto

Trovas antigas, saudade louca
Andam cantigas a bailar de boca em boca
Tristes bizarras, em comunhão
Andam guitarras a gemer de mão em mão

Por isso é que mereceu fama de boémio
Por seu condão fatalista
Atiraram-lhe com a lama como prémio
Por ser nobre e ser fadista

Hoje saudoso e velhinho,
Recordando com carinho seus amores suas paixões
Pr'a cumprir a sina sua
Ainda veio pr'o meio da rua, cantar as suas canções

Trovas antigas, saudade louca
Andam cantigas a bailar de boca em boca
Tristes bizarras, em comunhão
Andam guitarras a gemer de mão em mão

Tristes bizarras, em comunhão
Andam guitarras a gemer de mão em mão

Il y avait des chansons, des chansons
Les hommes venaient y boire et rêver
Dans La Maison Sur Le Port
Où les filles riaient fort
Où le vin faisait chanter, chanter, chanter

Les pêcheurs vous le diront
Ils y venaient sans façon
Avant de partir tirer leurs filets
Ils venaient se réchauffer près de nous
Dans La Maison Sur Le Port


Les volets se sont ouverts et depuis
Les rires des filles se sont envolés
Sous un tube de néon
Un fonctionnaire à lorgnons
Est perdu dans ses papiers, vieux papiers
Où sont les rideaux à fleurs
Et les lampes de couleurs
Les cheveux de Maria, ses bras nus?
On dirait que tout est mort et bien mort
Dans La Maison Sur Le Port


Pourtant je suis revenue une nuit
J'avais cru qu'on y chantait comme avant
Mais les couples qui dansaient
N'étaient plus rien à présent
Que les ombres du passé, du passé
Vainement j'ai recherchécette fille que j'aimais
Qui savait aussi chanter et aimer
Je vous dis que tout est mort et bien mort
Dans La Maison Sur Le Port


Ce n'est pas sur mes vingt ans que je pleure
Bien souvent avec les filles j'ai pleuré
Mais on aurait pu laisser
Nos chansons dormir en paix
Nos chansons et nos amours, nos amours
Je l'ai dit à Maria
Et aux filles de là­-bas
Allons boire pour oublier
Un petit marc
Puisque notre coeur est mort et bien mort
Dans La Maison Sur Le Port
Puisque notre coeur est mort et bien mort
Dans La Maison Sur Le Port

Je prendrai le dessin de tes lèvres
Qui chante sans dire un mot
Ton regard qui défie ou qui rêve
Où vont danser les oiseaux
 
Je prendrai tes cheveux où s'allument
Les mille soleils d'eté
Et ce rien d'injustice ou de brume
Ces mots qui te font pleurer
 
Je prendrai ta lumière
Car tu es la première
Qui a su éclairer ma maison
Puis j'irai le crier à la terre:
C'est toi ma chanson
 
Je prendrai tous tes gestes qui volent
Qui sont si légers, légers
Et tes mains dont les lignes un peu folles
M'ont fait longtemps voyager
 
Je prendrai ta pudeur et ta tendresse
Le mal que tu fais souvent
Je prendrai tout de toi: la tigresse
La louve et, surtout, l'enfant
 
Je prendrai tes colères
Tes espoirs, tes misères
Ce que tu m'as donné de passion
Et j'irai le crier à la terre
C'est toi ma chanson
 
Je prendrai ta lumière
Car tu es la première
Qui a su eclairer ma maison...
Puis j'irai le crier à la terre
C'est toi ma chanson

Lorsque nous en serons à la fin de notre âge
Quand nous lirons le temps passé sur nos visages
Et que tant d'hivers auront blanchi nos cheveux
Quand je ne serai beau encore que dans tes yeux

Lorsque nous en serons à cette joie de vivre
Où nous serons heureux simplement de survivre
Afin qu'un jour encore avant que de partir
Nous partagions tous deux un regard un sourire

Dans la maison fanée
Sans témoin sans personne
Nous verrons s'effeuiller
Notre dernier automne
Le soir à la veillée
Le coeur plein de tendresse

Nous rêverons au passé
Sans regret sans tristesse

Lorsque nous ne serons que deux vies hésitantes
Quand nous ne serons plus que deux ombres tremblantes
Lorsque nos mains ridées dans un dernier effort
Pour ne plus se quitter se chercheront encore

Lorsque nous en serons à la fin de l'histoire
Où le présent déjà se perd dans la mémoire
Lorsque nous n'aurons plus pour unique avenir
Que l'espace d'un rêve, le temps d'un souvenir

Dans la maison fanée
Sans témoin sans personne
Nous verrons s'effeuiller
Notre dernier automne

L'un près de l'autre assis
Comme en cet instant même
Je te dirai... Merci
Je te dirai... Je t'aime

Va danser
Toutes les danses que tu veux
Dans les bras de ceux
Qui t'entraînent au loin
Va sourire
Des sourires merveilleux
Pour les danseurs
Qui te tiennent la main

Mais n'oublie pas que je serai là
Pour te conduire enfin chez toi
Garde bien, la dernière danse pour moi

Va danser
Tu peux t'amuser
J'attendrai le tour de notre retour
Si quelqu'un
Veut t'accompagner
Jusqu'à la maison
Dis-lui bien que non

Car n'oublie pas que je serai là
Pour te conduire enfin chez toi
Garde bien, la dernière danse pour moi

Comprends-moi chérie, je t'aime trop
Et je n'ai qu'un seul désir
C'est t'empêcher un jour de partir
Notre amour est trop beau

Va danser (va danser)
Toutes les danses que tu veux
Dans les bras de ceux
Qui t'entraînent au loin
Va sourire (va sourire)
Des sourires merveilleux
Pour les danseurs
Qui te tiennent la main

Mais n'oublie pas que je serai là
Pour te conduire enfin chez toi
Garde bien, la dernière danse pour moi

Il y a (il y a)
Quelquefois des refrains
Plus forts qu'un vin
Ils vous tournent la tête
Chante et ris (chante et ris)
Mais je t'en supplie
Qu'aucun danseur ne prenne ton cœur

Car n'oublie pas, que ce sera dans mes bras
Que ce soir, tu t'endormiras
Garde bien, la dernière danse pour moi
Garde bien, la dernière danse pour moi
Mais garde bien, la dernière danse pour moi
(La dernière danse pour moi, la dernière dans pour moi)
La dernière danse pour moi

Les chiffres du gaspillage alimentaire en France

Voici quelques chiffres qui parlent d’eux-mêmes : en France, on jette 10 millions de tonnes de nourriture par an(1), tous secteurs confondus : chez soi, dans la restauration et dans la grande distribution.

Au niveau des particuliers, ce sont 5 millions de tonnes, soit 79 kg par personne, de nourriture jetée tous les ans. Si certains déchets sont incompressibles, on estime que 20 kg de nourriture par an et par personne pourraient être facilement évités. Parmi ceux-ci, 7kg de nourriture est jetée encore emballée ! gaspillage chiffres

Comment se faire des amis et influencer les autres

Nos relations avec les autres sont-elles importantes ? Sont-elles un facteur d'efficacité, de qualité de vie ?
Etre partout le bienvenu, devenir un agréable causeur, obtenir la collaboration d'autrui, critiquer (s'il le faut absolument) sans se faire détester, garder le bonheur au foyer, etc.

Pour réussir dans la vie et rendre plaisants, harmonieux et profitables nos innombrables rapports - sociaux, commerciaux ou sentimentaux - avec nos semblables, il faut écouter Comment se faire des amis, ouvrage qui, dès sa parution, a obtenu un succès retentissant et qui ne s'est jamais démenti depuis.

Aimez l'argent pour ne plus survivre

"Gagner de l'argent & choisir sa vie"

Amour, attraction, mais aussi haine et mépris, l'argent provoque une forte ambivalence émotive.

Faites-vous partie de ces gens qui veulent juste gagner leur vie, qui subissent leur travail, qui ont abandonnés ou de ces leaders qui ne baissent pas les bras ?

Sans condamner ni idolâtrer l'argent, Franck Nicolas apporte un éclairage inédit sur le sentiment qu'il suscite.

DÉCOUVREZ COMMENT GAGNER VOTRE 1ER MILLION

L’échec, c’est vivre pour le regard des autres

Qui n'a jamais eu de problèmes à prononcer ces 3 petites lettres: N.O.N?
Dire "OUI" à quelqu'un alors que vous pensez "NON" est souvent lié à la peur de déplaire, au besoin d'être aimé.

Savoir dire "NON", c'est apprendre à se dire "OUI" à soi-même.

Comment ne pas tenir compte du JUGEMENT des autres

Lorsque l’on dit oui à nos rêves, on inspire ceux qu’on aime à donner une chance à leurs propres rêves.
Nous ne savons pas si nos rêves sont possibles ou non, alors agissons comme si tout est possible.
Le premier but d’un rêve est de nous rendre vivants et donner un sens à nos vies, ici et maintenant.
Aujourd’hui nous avons un choix
Celui de donner un sens à un rêve, le choix d’y croire et d’agir. Donnez une chance à vos rêves. Quoi qu’il arrive, vous serez fier de vous !

Comment tout peut s'effondrer

Petit manuel de collapsologie à l'usage des générations

Et si notre civilisation s’effondrait ? Non pas dans plusieurs siècles, mais de notre vivant. Loin des prédictions Maya et autres eschatologies millénaristes, un nombre croissant d’auteurs, de scientifiques et d’institutions annoncent la fin de la civilisation industrielle telle qu’elle s’est constituée depuis plus de deux siècles. Que faut-il penser de ces sombres prédictions ? Pourquoi est-il devenu si difficile d’éviter un tel scénario ?

Dans ce livre, Pablo Servigne et Raphaël Stevens décortiquent les ressorts d’un possible effondrement et proposent un tour d’horizon interdisciplinaire de ce sujet - fort inconfortable - qu’ils nomment la "collapsologie". En mettant des mots sur des intuitions partagées par beaucoup d’entre nous, ce livre redonne de l’intelligibilité aux phénomènes de "crises" que nous vivons, et surtout, redonne du sens à notre époque. Car aujourd’hui, l’utopie a changé de camp : est utopiste celui qui croit que tout peut continuer comme avant. L’effondrement est l’horizon de notre génération, c’est le début de son avenir. Qu’y aura-t-il après ? Tout cela reste à penser, à imaginer, et à vivre…

Pablo Servigne est ingénieur agronome et docteur en biologie. Spécialiste des questions d’effondrement, de transition, d’agroécologie et des mécanismes de l’entraide, il est l’auteur de Nourrir l’Europe en temps de crise (Nature & Progrès, 2014).

Raphaël Stevens est éco-conseiller. Expert en résilience des systèmes socioécologiques, il est cofondateur du bureau de consultance Greenloop.

Postface d'Yves Cochet, ancien ministre de l'Environnement et président de l'Institut Momentum.

Avoir la vie qui vous inspire!

Réussir, vivre dans l'abondance sont plus simples que vous croyez.
Quelques petites choses à savoir et à appliquer feront la différence pour vous.

Comment s'aimer ?